Il y a quelques années, j’ai voulu lancer mon SaaS.
J’avais la tête dans le produit.
Je me disais : « Il est génial, il va se vendre tout seul. »
❌ Erreur classique.
Je n’essayais pas de vendre mon produit.
Je pensais qu’il se suffisait à lui-même.
Le concept plaisait vraiment.
Plusieurs “concurrents” étaient déjà sur le marché.
Chaque fois que j’en parlais autour de moi, les gens trouvaient l’idée excellente.
Mais ça ne suffisait pas.
Parce qu’avant même que les utilisateurs testent ton outil…
👉 Il faut les convaincre de cliquer, de s’inscrire, d’essayer.
Et ça passe par quoi ?
Par une landing page qui raconte la valeur, qui rassure…
Et surtout qui réussit à créer ce sentiment spécial qui donne envie d’essayer.
Ce moment où tu te dis :
« Mais pourquoi je n’avais jamais entendu parler de ça avant ? »
Moi, je n’avais pas réussi à créer ce déclic.
Résultat : un concept apprécié, un marché existant… mais zéro traction.
À l’époque, on me demandait souvent : « Tu as une landing page ou un site ? »
Et moi je répondais : « Euh non, tiens le lien direct du SaaS. »
Résultat : L'user n'est pas guidé comme avec la landing et ne comprends pas immédiatement la valeur
🎯Ce que j’ai compris :
Le produit est important.
L’idée peut être excellente.
Mais la perception et la manière de la vendre comptent encore plus.
⚡ Un SaaS ne se vend pas. Il se fait désirer.
Co-Fondateur — Vizia | J’identifie vos tâches critiques et livre un micro-SaaS IA en quelques jours | Simple • Mesurable • Efficace | Expert IA B2B
21 days ago
Bien vu. On confond souvent « bon produit » et désir : sans promesse claire et preuve immédiate, on crée de l’intérêt, pas de tension d’achat. Curieux de ton process : tu démarres une LP par l’UVP… ou par une preuve chiffrée qui tire tout le reste (bénéfices, CTA) ?